2023

Rennes, Orangerie du Thabor

« Éclats de Femme »

Annie & Constance Robine
Une exposition hors-norme, Mère et Fille, de nouveau ensembles!
Elles lient leur talent….  

L’exposition, tout en mêlant lignes féminines et masculines, mène au voyage de l’imaginaire entre plusieurs mondes, navigant sur la vague de l’infini, le voyage intérieur. Fragrance colorée, effluves et algues, parfum de beauté

2022

Dinan, Galerie L’artducoindelarue de Muriel Mahé

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Paris, Palais de la Femme, Salon PAGES
Novembre 2022

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Dinard, Salon des Arts
21-30 octobre 2022

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Paris, Grand Palais, SLAM (Livres rares et Arts Graphiques)
23-25 septembre 2022

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St Briac, Les Halles
Été 2022

&
Dinan, la Maison du Gouverneur
« EFFUSION MARINE », Annie Robine et Constance Robine

Une exposition hors-norme, Mère et Fille, de nouveau ensembles!  Elles lient leur talent….
L’exposition, tout en mêlant lignes féminines et masculines, mène au voyage de l’imaginaire entre plusieurs mondes, navigant sur la vague de l’infini, le voyage intérieur.
Fragrance colorée, effluves et algues, parfum de beauté…  

Le processus créatif consiste en un voyage, évoluant dans les sphères de l’imaginaire, de l’extraordinaire ou du merveilleux. Que ce périple artistique soit rêvé, projeté, conceptualisé ou vécu. L’artiste, quel que soit son support, déplace ses émotions, son regard, voire ses craintes, de sa main vers son œuvre, il nous donne à voir une réalité que nous, simples mortels, ne soupçonnions même pas. Force vive d’une société en perpétuelle mutation, la figure de l’artiste incarne par excellence cette vision poétique du voyage au sens large, aussi mouvementé et aventureux soit-il. Voyages lyriques, tels les ouvrages sensuels et raffinés d’Annie Robine, livres-sculptures uniques, sollicitant tout à la fois le plaisir intellectuel de la lecture aux plaisirs tactiles et visuels de l’objet précieux. Cependant derrière cette ode à la Beauté pure, l’artiste Annie Robine nous parle également des grands voyages émotionnels de la vie, du deuil, de la création comme une catharsis face à la douleur, mais aussi de la passation mère-fille, et de la puissance du grand Féminin. Du portrait épuré à la ligne d’horizon, de l’identité universelle au paysage dépouillé, l’imaginaire de Constance Robine nous parle de ce même mirage intérieur, de cette part d’insaisissable qui nous renvoie à une multitude d’émotions, empreintes dans ses toiles par des couleurs vibrantes. Sa peinture se situe à la frontière de la figuration et de l’abstraction expressionniste, lyrisme d’un rêve marin aux couleurs du spectre de ses origines malouines…

En cette période de grand trouble, où l’on questionne les fondements mêmes de notre civilisation, l’art est réellement une invitation au voyage,
une envolée visuelle et spirituelle, une catharsis à la banalité de nos maux quotidiens.  L’exposition, tout en mêlant lignes féminines et masculines, mène au voyage de l’imaginaire entre plusieurs mondes, navigant sur la vague de l’infini, le voyage intérieur. Fragrance colorée, effluves et algues, parfum de beauté…
Anne-Cécile Guitard

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Rennes, Atelier
Mars 2022
Expo Mère et Fille

Rennes, Rennes Enchères
“NATURE ET MERVEILLE, UN CABINET DE CURIOSITÉ“

Carole Jéséquel, commissaire-priseur de Rennes Enchères, a monté une exposition publique géante, un CABINET DE CURIOSITÉ incroyable, à la Halle Martenot de Rennes, du lundi 21 au jeudi 24 février 2022, suivie de la vente aux enchères Nature & Merveilles.

Elle a fait le choix de ces pièces pour les présenter dans cette exposition tout-à-fait incroyable:
“Balboa“, une sculpture rouillée étonnante sur un texte de jean-Paul Hameury, avec des monotypes d’Eric Brault ;
“Lingeries légères “, un galuchat rose bordé d’une guirlande de Labradorite, comme une pochette enlaçant le texte de Paul Eluard, et sa dédicace toute particulière…
“Corsen“ , une grande peau de maroquin anthracite, comportant des touches de léopard de mer, le tout bordé de baguettes d’ébène pour Jean-Noël Trébaul,
des sérigraphies et une huile originale sur papier japon de Michel Pagnoux ;
“La beauté“, texte de charles Baudelaire, est tout d’abord enveloppée dans une déclinaison somptueuse et élégante de papiers et dentelles,
puis dans un seul coquillage de bronze, bouche ou sexe, c’est le juste tombeau d’un érotisme ;
“Le neveu de Rameau“, texte de Diderot, est encadré de grilles enrichies d’agates, de coquillages, rubans et perles, tout un univers presque teinté d’une puissance chamanique.

HAMEURY Jean-Paul – Balboa      |      ELUARD Paul – Lingères légères     |      TREBAUL Jean-Noël – Corsen

    BAUDELAIRE Charles – La beauté      |      DIDEROT Denis – Le Neveu de Rameau

2021

RIOM Reliure Rencontres XIème Édition,
Exposition « Retrouvailles » 4 et 5 décembre 2021

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Paris, Salon du Livre rare et de l’Objet d’Art

L’édition du Salon du Livre Ancien et de l’Objet d’Art, le SLAM 2021 s’est tenue du 23 au 26 septembre, dans un nouveau lieu, le Grand Palais Éphémère, situé sur le Champ-de-Mars. Un nouveau bâtiment d’une conception résolument contemporaine et dans un site prestigieux.

Annie Robine y a présenté sa nouvelle collection de petits ouvrages (8cm x 11cm) reliés avec des grilles de métal rouillées et vernies,
peintes, noircies, nacrées ou dorées… ornés de compositions exubérantes de coquillages, fleurs, plumes,
mais aussi de cannetilles d’or ou d’argent, de grenats, de lapis lazuli, saphirs bleus,opales, etc.

Voici l’une de ces créations :

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Rennes-Enchères,
Metal BookBinding
Vente du 10 mai 2021

La pluie et le beau temps – Jacques Prévert
Éd. NRF Le point du jour 1955, E.O. ex. du tirage courant, comportant un dessin et envoi autographe très joyeux, signé de l’auteur (1957), format in-8
Reliure à mors ouverts sur vache noire estampée, grilles de métal peintes en noir, couture au fil jaune sur lanières épaisses de crocodile noires.
Boîte en papier Lamali (intérieur daim jaune) (Format : 14,5 x 19cm)

Un coup de dés jamais n’abolira le hasard – Stéphane Mallarmé Éd. GNF Gallimard 1969
Reliure à mors ouverts sur du chagrin estampé, tôles rouillées, la première tôle constituant le plat de devant est découpée au “plasma“, couture sur lanières de lieu.
Dorure : Stéphane Gangloff. Boîte (intérieur daim) (Format : 14,5 x 19cm)
Reliure présentée par L’Atemporel pour ART PARIS ART FAIR, 2014 au Grand Palais, Paris

2020

Rennes, Hôtel des Ventes
Organisation et mise en place de l’exposition “L’ODYSSÉE“

Une exposition qui réunit quatre artistes autour du périple d’Ulysse.
Ils lient leurs talents d’une façon unique, chargés d’essence marine et empreints de l’âme Odysséenne, en quête d’harmonies teintées de poésie :
Annie Robine, artiste du livre, Constance Robine, peintre dans la mouvance néo-expressionniste,
et les deux sculpteurs Milo Dias (Figuration critique) et Kere Dali.

Le processus créatif consiste en un voyage, évoluant dans les sphères de l’imaginaire, de l’extraordinaire ou du merveilleux. Que ce périple artistique soit rêvé, projeté, conceptualisé ou vécu. L’artiste, quel que soit son support, déplace ses émotions, son regard, voire ses craintes, de sa main vers son œuvre, il nous donne à voir une réalité que nous, simples mortels, ne soupçonnions même pas. Force vive d’une société en perpétuelle mutation, la figure de l’artiste incarne par excellence cette vision poétique du voyage au sens large, aussi mouvementé et aventureux soit-il.

Voyages lyriques, tels les ouvrages sensuels et raffinés d’Annie Robine, livres-sculptures uniques, sollicitant tout à la fois le plaisir intellectuel de la lecture aux plaisirs tactiles et visuels de l’objet précieux. Cependant derrière cette ode à la Beauté pure, l’artiste Annie Robine nous parle également des grands voyages émotionnels de la vie, du deuil, de la création comme une catharsis face à la douleur, mais aussi de la passation mère-fille, et de la puissance du grand Féminin. L’artiste malouine Constance Robine, quant à elle, déploie son talent dans une figuration outrée et percutante, ses coulures de couleurs à l’esthétique grunge n’étant pas sans rappeler le lyrisme post-romantique de certaines toiles de l’artiste britannique Peter Doig. Sa série d’acryliques In the Rocksnous parle de voyages intérieurs, de douleurs passées, de résilience et de la fierté d’être une femme malgré tout. Évasion d’ordre temporel cette fois-ci, avec les faciès tragi-comiques du sculpteur Milo Dias, qui invoque le caricaturiste, peintre, graveur et sculpteur Honoré Daumier (1808-1879) comme source d’inspiration. C’est avec des matériaux de récupération qu’il crée des personnages hybrides improbables, parfois drôles, parfois effrayants, pour nous parler de la vacuité de l’existence et de l’absurdité du comportement humain. À sa manière également le sculpteur Kere Dali nous invite à un voyage dans le temps, par sa maîtrise absolue des techniques académiques et de ses outils. Il y a là cette obsession du «faire» qui renvoie à une recherche de la matière entre abstraction géométrique et figuration, et l’exploration passionnée de nombreux matériaux.

L’orchestre national de Bretagne, par le biais de Marc Feldman son directeur, sera présent à travers des créations audiovisuelles d’images magnifiques de Stéphane Lavoué, accompagnant la superbe musique de l’orchestre, “Four Sea Interludes“ ( Quatre interludes de la mer de Benjamin Britten)

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Suisse, Château de Nyon
“L’ombre d’un cri“, Yves Peyré, dessin original Gilbert Pastor, Ed. Marchand Ducel 1990, ex. n°22/40
Galuchat brun, broderie de diamants bruts

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Rennes
RENTRÉE DES ARTS VISUELS

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Saint-Lunaire
“EFFUSIONS MARINES“, Constance Robine & Annie Robine

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Paris, Grand Palais
Salon du livre ancien, le SLAM

“Poème en désordre“, Bernard Noël, Ill. Gérard Truillé, Ed. Trames Rouergue 2004, ex. n° 27/33
Dentelle d’acier polie, agneau estampé, lanières de crocodile
“La beauté“ , Charles Baudelaire, Petite collection “Les Reines“, Rennes 2020
Bronzes, dentelles et rubans, papiers japonais et dorés
“Poèmes de Charles d’Orléans“, Henri Matisse, Ed. de la Revue Verve 1950 ex. n° 916/1200
Dentelle d’acier polie, agneau
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2019

Paris, Salon Pages
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Stokholm, Suède, Musée Strindberg
“Du hasard dans la production artistique“, August Strindberg, ill. Karin Lewin & Örjan Wikström

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Rennes, Rentrée des Arts Visuels
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Saint-Lunaire
“L’ODYSSÉE“, Annie Robine et Constance Robine

“La bonne chanson“, Paul Verlaine, Ed. Lemerre, Paris 1928 – Livre-Coquillage, soies et rubans
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Honfleur, salon du livre (Appar)
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Paris, Galerie-Librairie Emmanuel Lhermitte
“L’ODYSSÉE“
Annie Robine et Constance Robine

2 Artistes, mère et fille, présentent une exposition de reliures novatrices et de peintures intensément poétiques, et nous plongent dans les mirages d’une « ode à la mer ». Malouines d’origine, elles invitent à des retrouvailles marines, elles sont des voyageuses insatiables de l’imaginaire et porteuses de Beau.

Constance Robine, Emmanuel Lhermitte, Annie Robine

Les petits livres coquillage : 4 petits ouvrages de Franz Toussaint (édition d’art H. Piazza)
“Le jardin des caresses“ , Trad. Franz Toussaint, miniature de Léon Carré, Ed. H. Piazza 1941 – Bradel en papier japonais, moules
“Le jardin des caresses“, Trad. Franz Toussaint, miniature de Léon Carré, Ed. H. Piazza 1941 – Bradel en papier japonais blanc, coquillages longs
“Le cantique des cantiques“, Trad. Franz Toussaint, miniature G. Goor, ornementation Zworykine, Ed. H. Piazza 1957 – Bradel en papier japonais blanc, petits coquillages ronds
“Le jardin des caresses“, Trad. Franz Toussaint, miniature de Léon Carré, Ed. H. Piazza 1954 – Bradel en papier japonais blanc, petits coquillages pointus
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Saint-Coulomb, La Malouinière de la Ville-Bague
Salon des métiers d’art
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Paris, Grand Palais
Salon du livre ancien et de l’Objet d’Art, le SLAM

Annie Robine et Yves Peyré